Carnet de route

Stage d'Alpinisme en Vanoise

Sortie :  Initiation alpinisme (liste d'attente) du 21/06/2025

Le 21/07/2025 par Jonathan, Eric, Thomas et Axel

 

 

Récit de Axel

J-1 :

Vendredi 20 février à Chambéry vers 22h, Éric et moi arrivions un peu en avance au lieu du rendez-vous sur le parking de l’hôtel. Nous décidons donc d’aller au bar le plus proche pour se prendre un petit verre. 5 min plus tard nous étions au Mont Blanc (la brasserie) qui était en réalité davantage un bar dansant qu’une brasserie à notre grande surprise. Le DJ, les grosses sonos, le dancefloor tout y était. 25 minutes plus tard, retour au lieu du rendez-vous sur le parking de l’hôtel où nous y retrouvions Pierre, Thomas, Olivier, Jonathan et nos deux encadrants Laurent et Simon. 30 minutes plus tard nous étions déjà tous prêts à dormir car le lendemain levé à 6h pour prendre le petit déjeuner et faire la route jusqu’au refuge de l’Orgère.

Thomas « C’était sans compter sur la chaleur et une armée de moustiques qui se fit un plaisir à dévorer certains d’entre nous. Mais malgré cela tout le monde était en forme le lendemain ! »

 

Samedi 21 juin :

Arrivé au refuge de l’Orgère vers 8h, nous avions fait le check du matos individuel et collectif avant de débuter la marche d’approche direction le refuge de Peclet Polset par le col de Chavière. Durant notre trajet, Jonathan, Thomas et moi chopions nos premières ampoules et Olivier, après avoir pris un bain dans une rivière, se trancha l’orteil sans s’en rendre compte car anesthésié par le froid. Le début de ce stage d’alpinisme commençait de la meilleure façon qui soit !

Thomas « C’est à ce moment-là que les patchs anti-ampoules de la marque Compeed ® sont devenus l’un de nos sujets de discussion favoris et l’un des objets les plus convoités durant le séjour. »

 Environ 4h30 plus tard, nous arrivions au refuge de Peclet Polset pour prendre un déjeuner déjà bien mérité. Puis Simon a dû s’improviser chirurgien pour pouvoir retirer tous les résidus bloqués dans la plaie d’Olivier. Dès le déjeuner terminé, en route pour le début des apprentissages en direction de névés pour pouvoir commencer par l’école de neige, puis vers une paroi rocheuse pour l’école de rocher. Retour au refuge vers 16h. S’en suit le premier débrief de ce stage d’alpi dans lequel nous avions chacun eu l’occasion d’échanger sur nos attentes envers ce stage et de divers sujets en lien avec les apprentissages de cette journée. A 18h, c’est l’heure du dîner qui fut revigorant. Après le dîner, nous nous projetions dans la course de demain et dans les topos.

Thomas « D’après le topo apparemment il fallait « contourner les Enfetchores », une question nous taraude, C’est quoi les Enfetchores ?  C’est un truc dans les coins de la Meije, je crois. La Meije c’est loin d’ici ! Ne voyant pas ce que ce mot faisait là je décidais de l’utiliser pour designer tout et n’importe quoi. »

 

Dimanche 22 juin :

Réveil bien matinal à 3h30 pour prendre le petit déjeuner, pour un départ vers 4h en direction du glacier de Gébroulaz. Après une courte marche d’approche, nous nous équipions vers 2700 mètres au pied du glacier. On était divisé en trois cordées. Olivier et Éric, Simon, Jonathan et Pierre, puis Laurent, Thomas et moi. 

Thomas « Une courte marche d’approche et une traversée de glacier qui réveille bien les Enfetchores, si je peux me permettre »

Une fois équipés, nous étions prêts pour l’ascension de l’aiguille de Polset.

Il y avait pas mal de monde sur le glacier et le dôme de Polset, mais par chance nous étions tout seuls sur l’aiguille de Polset, ce qui nous a permis de bien profiter du sommet à 3531m. Descente par un autre itinéraire que la montée en direction du terminus du glacier pour l’école de glace. Retour au refuge vers 15h. Après une petite sieste pour la plupart des membres du groupe, l’apprentissage continue à l’arrière du refuge sur une cage d’escalier pour nous apprendre l’auto-sauvetage en cas de chute dans une crevasse. 18h, l’heure du repas. Jonathan nous annonce une mauvaise nouvelle, sa tendinite au genou semblait refaire surface. Quant à Thomas, son ampoule au talon prenait de plus en plus de terrain. S’en suit à nouveau le debrief de la journée qui deviendra une habitude tous les soirs.

Thomas « Ce soir-là nous avons cherché un moyen d’économiser nos Compeed ® pour protéger nos enfetchores pour le reste du séjour. »

 

Lundi 23 juin :

Le groupe s’était imaginé une journée récup mais que nenni, réveil 3h30 avec comme objectif rejoindre le refuge de la dent Parrachée en passant par la Brèche de la Croix de la Rue puis de faire l’arête du vieux guide pour rejoindre le sommet de la Cime des Planettes. Malheureusement, Jonathan fut contraint de ne pas partir avec le groupe mais de redescendre au refuge de l’Orgère à cause de sa douleur au genou. Pour le reste du groupe, départ à 4h30 pour une marche d’approche d’environ 1h30 jusqu’au pied du couloir que nous allions emprunter. Nous nous divisions en 3 cordées également. Laurent, Pierre et Thomas, Olivier avec Éric, puis Simon et moi. Nous progressions principalement en corde tendue dans la Brèche de la Croix de la Rue. Une fois arrivé à la fin du couloir, courte pause avant d’enchaîner sur l’arête du vieux guide qui nous a permis de mettre en pratique ce que l’on avait appris durant notre 1er jour de stage pendant l’école de rocher (pose de friends, de sangles, corde tendue, assurage à l’épaule et sur un becquet). Cependant, cette course d’arête ne fut pas riche qu’en apprentissage mais également en galère. La semelle de chaussure de Thomas décida de prendre son indépendance l’obligeant à porter ses crampons pour le reste de l’arête.

Thomas « Heureusement l’arrière de la semelle était resté accroché, mais course de rocher en crampon avec des talons déjà bien amochés, la suite s’annonce difficile !! »

Puis la météo commença à se détériorer. Fort heureusement, Laurent et Simon ont su anticiper cette météo. Nous avions donc dû prendre un réchap débutant par un rappel afin d'éviter d’être sous l’orage et la grêle en étant sur l’arête.

La météo se calma par la suite, ce qui nous a permis de continuer les apprentissages sur un névé. Au programme : mise en place d’un corps mort et démonstration du mouflage. Vers 15h, il était l’heure de continuer la marche jusqu’au refuge de la dent Parrachée. Une fois arrivés au refuge, nous avions été informés qu’il y avait un sauna à disposition. Ni une ni deux, Olivier y fut aussi tôt avant même que tout le groupe ne soit arrivé au refuge, car comme dit précédemment, Thomas avait sa semelle qui faisait des siennes, ce qui l’a forcé à marcher en canard pendant quelques kilomètres. A 18h, c’était l’heure du debrief. Laurent et Simon hésitaient par rapport au choix de la course du lendemain. C’était soit la pointe de Labby ou la dent Parrachée. Le choix s’est finalement tourné pour la dent Parrachée. Néanmoins, nous avions appris qu’une vingtaine de légionnaires de la section montagne serait également présente avec nous le lendemain matin pour l’ascension de la dent Parrachée mais également de la pointe de Labby. Mais le choix était fait. Le lendemain, direction la dent Parrachée !

Thomas « C’est là que je réalise qu’en plus de ma chaussure défectueuse mes talons sont dans un sacré état. C’est avec pas mal de déception que je décide de ne pas suivre le groupe pour la suite. Franck le gardien du refuge a eu pitié de moi, il m’a fait de super pansements !!»

 

Mardi 24 juin :

Réveil 3h30 du matin. Malheureusement, ce jour-là, nous perdions Thomas en raison de sa semelle qui pouvait être dangereuse lors de l’ascension, mais également à cause de ses ampoules qui ressemblaient davantage à une brûlure du troisième degré plutôt qu’à des ampoules, à tel point d’en faire pâlir le gardien du refuge qui l’a interdit de continuer. Nous étions donc plus que 6 pour l’ascension de la dent Parrachée. La veille, nous avions décidé de partir à 4h pile pour être devant le groupe de légionnaires durant l’ascension. Cependant, les militaires se sont avérés bien plus efficaces que nous dès le matin, nous partions alors au coude à coude avec les militaires vers 4h15.

Arrivés en bas de la pointe de la Fournache, nous nous équipions afin d’entamer la montée d’une pente de neige haute d’environ 300 mètres entre 35 et 40°. Cependant, la verticalité de la pente et le risque de chute de pierre nous ont contraints à attendre que les légionnaires arrivent au col de la dent Parrachée pour limiter les risques. Nous étions toujours divisés en trois cordées. Olivier et Éric, Laurent et Pierre, puis Simon et moi. La première partie de la pente jusqu’au col était en neige, les pas étaient bien ancrés dans la neige grâce au passage des militaires. Cependant, la seconde partie de la pente avant d’arriver au col était en cailloux pourris instables. Arrivé au col, le froid se fait ressentir en raison de fortes rafales de vent. Après une courte pause, nous continuions l’ascension. Nous suivions l’arête W en direction de la pointe de la Fournache. Mais les conditions ne nous permettaient pas d’emprunter le chemin de la voie normale. Il y a donc eu une période de réflexion sur le chemin à emprunter pour limiter le plus possible les risques. Nous décidions de retourner sur nos pas à la suite d’une décision de Laurent qui a trouvé un meilleur passage pour pouvoir continuer l’ascension. Cependant, le terrain comportait que très peu de rocher sain, ce qui nous a obligés à rester prudents tout du long et à patienter le temps que les militaires évoluent. Vers 3550 mètres d’altitude, le sommet n’est plus si loin.

Thomas « Pendant ce temps, je me suis doré la pilule au refuge de la dent Parrachée en lisant Cent heures de solitude de Gaëlle Cavalié un super récit d’alpinisme »

 

Nous décidions de faire chemin arrière et de renoncer au sommet en raison des conditions et de l’horaire que l’on s’était fixé que nous n’avions pas pu respecter. La descente s’est avérée plus compliquée que la montée car le terrain très instable nécessité une pleine concentration pour les premiers de cordées qui devaient rester attentif au moindre faux pas du second afin de pouvoir enrayer directement tout potentiel déséquilibre. De retour au col, nous avions pu souffler un petit coup car les principales difficultés étaient derrière nous. Cependant, il restait la pente de neige et de rocher de 300 mètres incliné à 35° à descendre. De retour en bas, il était l’heure du casse-croûte et de l’atelier lovage de corde. Retour au refuge vers 16h, nous y retrouvions Thomas bien reposé qui s’est occupé de réparer sa semelle à l’aide d’une cordelette et de soigner ses ampoules. Puis vers 17h, direction le sauna où nous rencontrions un légionnaire déjà présent dans le sauna. Nous écoutions toutes les histoires et les anecdotes de ses Opex qu’il nous racontait et de ses agacements pour les debriefs incessants à l’armée. Après le repas, il était l’heure de notre débrief dans lequel on a discuté de notre ascension et de la décision de renoncer au sommet 150 mètres en dessous de ce dernier.

 

Mercredi 25 juin :

Notre dernier jour de stage, qui n’a pas empêché un réveil à 3h30 également. Au programme, rejoindre le refuge l’Orgère en passant par le col de la Masse. Ce jour-là, Thomas n’a pas pu nous accompagner, toujours en raison de ses ampoules et de sa semelle. Il décida alors de rejoindre par une bonne marche d’approche les télécabines qui le déposent dans la vallée, lui permettant de rejoindre Jonathan pour faire le trajet en voiture jusqu’au refuge de l’Orgère. Tant qu’à nous, départ 4h30 en direction du col de la masse avec un rythme de croisière car nous n’étions pas pressés. Arrivé au col, les névés présents nous ont permis de faire un dernier atelier mouflage dans lequel nous avions pu réaliser cette technique nous-mêmes. S’en suit une démonstration de Laurent et de Simon sur la pose de pitons et de leurs utilités. Les ateliers finis, de retour à la marche pour rejoindre le refuge de l’Orgère où nous y retrouvions Thomas et Jonathan déjà en train de déguster un bon plat. Jonathan nous raconta les péripéties qu’il a vécues de son côté et de l’état de son genou qui semblait aller déjà un peu mieux. Nous mangions tous un bon repas qui fut salvateur après ces 5 jours riches en apprentissages. Puis arrive l’ultime débrief qui marqua la fin de ce stage d’alpinisme en Vanoise, puis du check du matos sur le parking.

Un grand merci à Simon et Laurent pour ce stage, mais également à Éric, Olivier, Pierre, Jonathan et Thomas qui étaient géniaux !

 


 

Bilan de Thomas

Un stage riche en apprentissage, dans un endroit que je ne connaissais pas, un séjour épique compte tenu de mes mésaventures. Cela m’aura appris de bonnes leçons, laissé de beaux souvenirs, et un ou deux sommets à retenter un jour. Mais surtout une envie de ne pas m’arrêter là avec l’alpi !!

PS : Enfetchores désignerait un endroit où il est facile de s’enfetcher, c’est-à-dire se perdre… Alors attention aux Enfetchores !

 


 

Récit de Éric

Les apprentissages visés.

Nos deux formateurs Laurent et Simon (Laurent Hesse n’ayant pu être présent pour blessure), à la fois très compétents et expérimentés, sont surtout passionnés et qualifiés soucieux de transmettre le maximum de leurs savoirs et expériences.

Les journées ont donc été exploitées au maximum :

  • Le 1er jour , après l’arrivée au refuge, ce fut école de neige (progresser, arrêter sa chute parer une chute) école de rocher : la corde tendue, les diverses protections, sur becquet, avec coinceurs ou friends. descente en rappel) Le tout avec mise en pratique.
  • Le 2e jour, à la fin de la course au bas du glacier, sur glace vive : Laurent et Simon, ont installé un parcours type « via cordata » où nous avons pu en toute sécurité, nous familiariser aux différents types de déplacement sur glace. Descente, traversée, montée, ascension puis descente verticale. Découvrant ainsi, toutes les possibilités d’utilisation de nos crampons et du piolet. Puis à l’arrivée au refuge, à peine le temps de mettre notre matériel de course à sécher que nous apprenions suspendus à l’escalier de secours du refuge, comment réaliser une ascension sur corde fixe : situation d’auto-sauvetage lors d’une chute en crevasse sur glacier.
  • Le 3e jour, démonstration de la mise en place d’un mouflage, laquelle sera prolongée le dernier jour par la réalisation de chacun de nous, « en situation quasi réelle » dudit mouflage.
  • L’implication des stagiaires et la prise de responsabilité : car chacun est passé en premier dans sa cordée, bien épaulé par nos formateurs.
  • Le débrief : chaque journée se terminait par un regroupement de tout l'effectif, avec une mise en commun, débats et retour sur les points cruciaux à bien mémoriser. Ici on revenait tout particulièrement sur les choix et les décisions prises lors de la course : par exemple :
    • Erreur de parcours lors de l’approche à la frontale.
    • S’échapper à la fin du rappel sans finir la course d’arrête à cause de l’orage que nos formateurs avaient vu arriver.
    • Rebrousser chemin lors de l’ascension de la Dent Parrachée pour prendre un cheminement plus sûr. Puis choix de renoncer car l’horaire était dépassé et que continuer nous mettrait en danger sur la redescente (rochers « pourris » et en dégel, couloir de neige qui ne tient plus etc.).
    • Renoncer : Laurent et Simon, ont pris cette décision au moins 2 fois. Le groupe l’a prise une fois en choisissant de ne pas faire de course le 5e jour, pour cause de fatigue. Comprendre et admettre que cette décision est cruciale en alpinisme pour la sécurité de la cordée et du groupe.
    • Ne pas négliger la charge mentale : surtout pour le 1er de cordée qui doit faire preuve d’une vigilance quasi permanente. Ceci influant beaucoup sur l’état de fatigue et les décisions à prendre. Les échanges et la concertation sont primordiaux!

Un grand merci à Laurent et Simon, qui n’ont eu de cesse de nous apporter le maximum avec patience et bienveillance.

 


 

Point de vue de Jonathan :

On est le vendredi 20 juin. Après un super week end d'initiation dans les Vosges cet hivers, le moment est venu de faire grimpette dans les Alpes. De l'équipe vosgienne il ne reste que Thomas et moi, avec bien-sûr Simon et Laurent nos instructeurs. Olivier, Pierre, Axel et Éric rejoignent le groupe.

Le rendez-vous est donné à Chambéry pour une nuit (blanche ?!) à l' hôtel. 

P'tit déj 6h00, 1h30 de route, et nous voilà garé au refuge de l'orgère. Check et répartition du matos, il est 9h00, il est temps d'avaler les 1000d+ qui nous sépare de notre destination. Première leçon pour trois d'entre nous : les grosses. Le combo mauvais serrage, mauvaises chaussettes mettra des talons à vif dans les premiers kilomètres, la course au compeed est lancé. On y ajoute un dessous de pieds découpé et notre équipe de champion arrive au refuge de Peclet Polset pour le déjeuner.

L'après-midi sera dédié à réviser les bases ', piolet, coinceur, noeuds, anneau de corde, chute dans la neige, déplacement en corde tendu etc....

3h00.... Le choc... Ils ont vraiment dit 3h00 ? Ouais.... Départ 3h00 donc. Objectif Dome de Polset. Petite approche, on chausse les crampons rapidement et là la magie opère, lac, levé de soleil, objectif en vue. On en oublie les ampoules. Le sommet prévu paraît trop facile.... Mais celui d'à côté a l'air cool ! Direction l'aiguille du même noms, pour une crête aérienne et un peu d'escalade. Arrivé en haut de l'aiguille de Polset à 12h00, il est l'heure de manger... Non il est seulement 9h00 mais tout le monde à la dalle ! On profite de la vue, Laurent repère un itinéraire bis pour la descente. Le repas est pris en bas du glacier accompagné d'une petite sieste... Mais pas pour nos instructeurs... Non... Ils nous préparent une véritable via-ferrata. Objectif cramponner de toutes les manières possibles sur la glace vive. Bravo, super atelier !  

Retour au refuge dans l'après midi... Le temps restant est mis à profit pour travailler la remontée sur corde, débrief, apéro et programme du lendemain.

On est Lundi et c'est grasse mat'... P'tit déj à 4h00... Quelques aller/retour dans les escaliers me font comprendre que mon genoux n'encaissera pas le d+ dela journée... Ce sera la fin du séjour pour moi. Redescente à Modane, profiter des vacances et rejoindre le groupe plus tard pour le retour.

Un immense merci à Laurent et Simon pour nous avoir partagé leurs savoirs et nous former sur leurs temps libre. Leurs connaissances de la montagne et leurs prises de décision judicieuse nous ont permis de profiter et d'apprendre en toute sécurité, Chapeau !

Bravo aussi à tout le groupe, de profil et d'âge différents (pour la parité... On reparessa). Mais avec un point commun, une condition physique en béton ! Ça fonce, ça mange (beaucoup?!) et ça en redemande ! Hâte de vous revoir.

 







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